William Wisting, policier depuis de nombreuses années, est maintenant à la tête de sa circonscription. Il y a 24 ans, alors qu’il est simple enquêteur, Katharina Haugen disparait. Son corps ne sera jamais retrouvé. Est-elle morte ? A-t-elle fui sa vie pour s’en reconstruire une nouvelle ?
24 ans plus tard, la réponse n’a jamais pu être trouvée, mais Wisting ne cesse de relire les éléments de l’enquête et notamment de tenter de résoudre ce que tout le monde nomme le code de Katharina, une feuille trouvée à son domicile indiquant un lieu que personne ne semble capable de situer.
Depuis cette date, tous les ans, le 10 octobre, jour anniversaire de sa disparition, Wisting rend visite au mari de Katharina, Martin Haugen. Au fil des ans, une amitié s’est créée entre les deux hommes même si tout au fond de lui et malgré l’alibi de Martin, Wisting ne peut s’empêcher de penser que l’homme lui cache des informations sur ce qui est arrivé ce jour-là.
Alors que pour la première fois en 24 ans, Martin n’est pas présent lors de sa visite, il est contacté par un enquêteur, Adrian Stiller, travaillant dans une unité spécialisée dans les cold cases. Son but, trouver les réponses sur l’enlèvement 26 ans plus tôt de Nadia Krogh. Pourquoi maintenant ? Et pourquoi demander l’aide de Wisting qui n’avait pas été chargé de l’enquête ? Stiller lui apprend que suite à une nouvelle analyse des preuves, notamment les lettres des kidnappeurs, ils ont trouvé des empreintes, empreintes correspondant à celle de Martin Haugen.
Son ami serait-il responsable de l’enlèvement de Nadia ? Si oui, serait-il responsable également de la disparition de sa femme Katharina ? Pour résoudre ces deux affaires qui semblent liées, Wisting accepte de partir en weekend de pêche avec Martin, pour tenter de le faire craquer.
Mais, et si la seule manière de réellement comprendre ce qui a pu se passer était de résoudre le code de Katharina ? Et si, depuis tout ce temps, la réponse était devant eux ?
Coup de cœur.
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